M. Carlier poursuivait en disant: "Prenons Raël. Voilà un type, c'est pas de sa faute, mais il faut bien dire les choses, voilà un homme que dame Nature a doté d'une tête de con".
Le tribunal a considéré "que l'expression +gros blaireaux du style Raël+ constitue bien à l'égard de ce dernier un terme de mépris, cependant que celle de +tête de con+ présente un caractère outrageant".
En conséquence, il a condamné M. Carlier à 1.000 euros d'amende et à verser un euro de dommages-intérêts à M. Vorilhon.
Et pendant ce temps, Rael continue de recruter des adeptes, de pratiquer le droit de cuissage, d'aimer ... à sa façon les petits enfants, tous les témoignages d'anciens adeptes se recoupent. On marche sur la tête.
La photo du fou qui a tout compris pour être pété de tunes et qui pratique l'abus d'autorité sur ses adeptes