Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Stella Vidal : mes coups de gueule et coups de coeur

Coups de gueule et coups de coeur sur des sujets variés, politique (j'adore!), actualité, automobile, billets d'humour, gastronomie, santé, enfants, protection animale, sport y tutti cuanti : no limit ! je vous attends.

LES HYMNES NATIONAUX, HISTORIQUE USA, GRANDE BRETAGNE, FRANCE, ISRAEL

The Star-Spangled Banner


etats.gif

(By Whitney Houston)


The Star-Spangled Banner (La Bannière étoilée) est un poème écrit en 1814 par Francis Scott Key et qui constitue depuis le 3 mars 1931 sur la musique d’une chanson populaire anglaise (To Anacreon in Heaven ) dont le compositeur n’est pas connu, l’hymne national des États-Unis d'Amérique. Avocat de 35 ans et poète amateur, Key a écrit ce poème après avoir assisté, pendant la guerre de 1812, au bombardement de Fort McHenry à Baltimore, dans le Maryland, par des navires de la Royal Navy britanniques entrés dans la baie de Chesapeake. Le texte rend hommage à la résistance héroïque de ceux qui défendirent le fort et qui furent en mesure de faire flotter le drapeau américain au sommet en dépit de l'acharnement de l'ennemi à y planter le sien.

 


GOD SAVE THE QUEEN

 


 

drapeaugb.gif

God save the Queen (Que Dieu protège la Reine) est l'hymne national de facto du Royaume-Uni et non officiel comme chacun pourrait le penser. Lorsque le souverain britannique est un homme, on utilise une version alternative qui est en fait le texte original « God save the King » (Que Dieu protège le Roi) d'un motet composé sur une citation biblique (Psaume 20, verset 9).

Il était par le passé l'hymne national de la majeure partie des pays du Commonwealth ; bien que la plupart d'entre eux aient maintenant leur propre hymne national, plusieurs (dont l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada) le reconnaissent en tant qu'hymne royal.

Par ailleurs, traduit en latin « Domine, salvum fac Regem », il devint l'hymne royal français jusqu'en 1792, date de la dissolution de la monarchie.

De nombreux autres pays dont le Liechtenstein, la Suisse, la Norvège etc… ont un temps utilisé cette musique comme hymne royal.

 

 

LA MARSEILLAISE

france.gif

 

 

La Marseillaise est un chant patriotique de la Révolution française, adopté depuis lors comme hymne national par la République française.

Écrite par Rouget de Lisle en 1792 pour l'armée du Rhin à la suite de la déclaration de guerre de la France à l'Autriche, La Marseillaise est, à l'origine, un chant de guerre révolutionnaire et un hymne à la liberté. Ses paroles consistent en une exhortation au combat pour la victoire et le salut de la révolution, et la libération des peuples de l'empire. Elle a été adoptée comme hymne national français une première fois le 14 juillet 1795, puis définitivement le 14 février 1879, hormis pendant la période de l'État Français, qui lui substitue Maréchal, nous voilà !. La Marseillaise fut décrétée chant national le 14 juillet 1795 (26 messidor an III) par la Convention. Elle fut interdite sous l’Empire et la Restauration, puis remis en valeur lors des Trois Glorieuses, les 27-28-29 juillet 1830. Berlioz en élabora une orchestration qu’il dédia à Rouget de Lisle.

 

 

 

Hatikvah                            flagwave.gif

 

 

(L’Espoir, התקווה ou הַתִּקְוָה en hébreu1) est l’hymne national de l’État d’Israël depuis sa création en 1948.

 

Il a été écrit en Ukraine en 1878, par Naftali Herz Imber, sous le nom de Tikvatenou (Notre espoir). La musique a été adaptée en 1888 par Samuel Cohen, d’après une mélodie populaire roumaine de Moldavie. Cette mélodie, qui circulait en Moldavie et dans les pays limitrophes, est connue en Roumanie sur des différents textes : Le Chariot à bœufs (Carul cu boi), Chanson de mai (Cântec de mai - Les Plaines se sont réveillées : Luncile s-au deşteptat) ou Maïs aux feuilles haussées (Cucuruz cu frunza-n sus).

 

Peter Gradenwitz émit l’hypothèse que Samuel Cohen a trouvé cette mélodie dans un recueil de chansons liturgiques publiées par le chantre Nissan Beltzer de Kichinev, ce qui n’exclut pas la source moldave.

 

En 1901 cette chanson, connue alors encore sous le nom Tikvaténu avec toutes ses dix strophes, fut chantée par les délégués du 5e congrès sioniste mondial. Depuis le 6e congrès en 1905 est devenue une coutume de chanter ses deux premières strophes à la fin du chaque congrès sioniste en tant qu’hymne non-officiel. Au 18e congrès sioniste mondial en 1933, il a été adopté comme hymne officiel du sionisme puis il est devenu l’hymne national israélien à la création de l’État en 1948. La loi officielle décrétant les symboles nationaux israéliens n’a été votée par la Knesset qu’en novembre 2004.

 

C’est aussi le chant officiel de la résistance du ghetto de Varsovie au début des années 1940.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :